Je trouve utile de publier sur ce blog ma réponse à une personne qui m'a interpellée au sujet des informations catastrophiques de la situation en Italie par rapport aux ravages faits chez eux par le coronavirus. La naturopathie n'est pas une médecine "douce", en particulier l'aromathérapie et, au contraire de bien des médicaments homéopathiques, l'action des huiles essentielles et de différents compléments alimentaires ne peut qu'être prise en compte car elle a été prouvée par différentes études et par l'observation.
Personne n’a prétendu que le coronavirus ne fait pas de mort. Je réponds à votre dernier post ainsi qu’à votre question sur que faire.
J’ignore pourquoi la situation en Italie est si catastrophique, Monsieur, ce pays que j’adore mais où les ponts s’effondrent ainsi que la plupart des constructions, lors de tremblements de terre qui, chez nous, feraient sans doute moins de dégâts matériels. Je ne connais ni le système italien de la santé (si ce n’est que je sais qu’il faut attendre des mois, de manière générale, pour subir une opération non urgente prise en charge par la sécurité sociale) ni ce qui a été mis en place précédemment, avant l’instauration des mesures actuelles.
Il est vain et illusoire de penser qu’on va stopper la propagation de ce virus, la définition d’une pandémie étant justement liée à la capacité du virus en question de se propager.
On peut tout au plus en ralentir la propagation, ce que le Conseil fédéral tente de faire par ses mesures (que je n’approuve pas entièrement car je les trouve notamment incohérentes mais que je vais bien sûr respecter, en particulier sur mes lieux de travail). Ces mesures sont lacunaires. Nos aéroports restent ouverts, le fait d’avoir limité les lieux de passage entre l’Italie et le Tessin est propre à condenser le nombre de personnes qui transitent en même temps au même endroit, on ne teste ni même ne questionne les personnes qui entrent en Suisse et les caissières de supermarché font partie de la population qui semble avoir été oubliée dans les personnes / situations à risque d’être contaminées / contaminantes.
Les médecins, même épidémiologistes, n’ont pas tous le même avis. Si vous avez regardé le 19H30 d’hier soir, vendredi 13 mars, vous aurez pu entendre s’exprimer l’un des plus réputés d’entre eux, qui disait que 1000 personnes dans un stade prévu pour bien plus ne couraient aucun danger, en raison de la distance entre eux, et l’une des dernières informations que j’ai lues affirme qu’on ne peut être contagieux que lorsque symptomatique. Dans ce cadre, à mes yeux, fermer les domaines skiables est regrettable, également comme source de détente au grand air.
L’une des dernières infos, également, sur ce virus sur lequel on en apprend tous les jours, est qu’il meurt à une température de 26 à 27 degrés et on peut être certains que, avec le temps qui passe, les infos vont se modifier.
Donc à ce stade, où il est absolument certain que soit vous soit moi pouvons être contaminé, je pense qu’il est intelligent et aidant de maintenir son immunité au top, autant que possible.
Parmi les vitamines et oligoéléments dont notre organisme a besoin, certains augmentent notre immunité en facilitant la production de globules blancs et / ou en raccourcissant notre temps de réaction à toute attaque bactérienne ou virale. Par ailleurs, toutes les huiles essentielles sont bactéricides et virucides.
Les oligo-éléments qui optimisent nos réactions immunitaires sont principalement l’or, l’argent, le cuivre, le zinc. Les vitamines qui font de même sont les vitamines C et D. Les huiles essentielles qui agissent le mieux sur les voies respiratoires sont le thym, le pin , la ravensare et le niaouli. L’antibiotique le plus puissant, sous forme d’huile essentielle, est l’origan. Un manque de fer favorise également les infections.
Donc, en se référant à ces informations-là, la meilleure manière de se prémunir, pour le cas où on serait en contact avec le coronavirus en dépit des précautions prises, est de prendre un complément vitaminique et d’oligo-éléments et un mélange d’huiles essentielles (qu’on peut également masser directement sur sa poitrine, la peau ne faisant pas barrage aux huiles, mélangées dans un support d’huile végétale, ou / et diffuser dans l’air) ou d’hydrolats.
Si j’ai le temps, je ferai des propositions de mélanges sur mon site. Pour ceux que ça ferait (sou)rire, j’aime beaucoup l’analogie qui consiste à dire que si vous vous exposez pendant plusieurs heures en plein soleil après l’hiver, certes vous aurez un coup de soleil, mais il sera beaucoup moins important si vous avez pris la précaution de vous crémer régulièrement avec une lotion protectrice.
Les huiles essentielles étant des extraits puissants, efficaces et non démunis d’effets secondaires, il est impératif de se renseigner auprès de quelqu’un de formé en aromathérapie, par exemple en demandant conseil à un droguiste ou un pharmacien formé en la matière ou en vous rendant chez un naturopathe et de ne pas vous automédiquer.
Au vu de la température évoquée à laquelle le virus mourrait, on peut aussi conseiller de se gargariser avec de l’eau chaude, additionnée de sel, notamment si on commence à avoir des maux de gorge, et de boire des boissons chaudes, ce qui devrait aider à diminuer la charge virale dans la gorge et la bouche.
Quant à la dernière mesure, à moins que vous ne viviez seul chez vous et que personne n’y vienne jamais, c’est celle de désinfecter régulièrement les poignées de portes et la robinetterie, avec une lotion alcoolique (toujours selon des infos officielles, le virus ne résisterait pas à 1 minute de contact avec de l’alcool).
Je trouve utile de rappeler que le taux de mortalité énorme des femmes après l’accouchement a brutalement chuté une fois que la médecine a découvert l’existence des microbes, avant même la découverte du premier antibiotique, juste par le fait de se laver les mains après avoir touché des sécrétions (sueur, sang, mucus). Si chacun d’entre nous applique à lui-même ce genre de notions d’hygiène, qui consiste à se laver régulièrement mains et visage et à désinfecter ce qu’on touche, nous freinerons de manière importante toute propagation à autrui d’un virus dont nous sommes peut-être porteurs sans le savoir.